Tout serait parti dans la semaine du Samedi13 au 27 février dernier. Ce jour-là, cinq camions en provenance d’un pays voisin avec le Cameroun ont été stoppé nette par les élements de la policier en poste à la barrière fixe de la localité de Bonis. Constat, à bord du chargement des convoiyeurs se trouvait 10 contenairs de 50 barres chacunes. Mis au parfun des contenairs suspectés d’avoir des produits non identifié, le délégué à la sureté nationale pour l’Est à Bertoua est directement descendu sur les lieux à bord d’un véhicule de couleur grise. Venu voir de quoi il s’agissait, le patron de la police régionale a ordonné à ses troupes composés des élement de l’équipement spécial d’intervention rapide (Esir) accompagné par ceux de la police, de faire demi tour en direction de la capitale régionale de l’Est pour ulicider cette affaire.
Selon des sources concordantes, ces containers qui proviennent du Tchad et suspectés à tort ou à raison, des armes, ont été stoppés au porte de la ville de Garoua- Boulaï en date du vendredi 4 mars dernier par les élements de la brigade de la gendarmerie.
Au dire des curieux habitants présent lors du film de cette interpéllation par le délégué à la sureté nationale pour l’Est, une déchirure d’un des cinq contenairs a laissé voir des bout d’armes emballés dans des pilous. Dans une question adressée à un convoyeurs , ce dernier nous a permis de savoir que leur destination choisie est le port de douala où la destination finale n’a pas été revélé.
Rendu dans l’enceinte d’un cammissariat de la place hier jeudi, pour s’enquerir de la situation de ces contenairs renvoiyés à Bertoua, une source sécuritaire a laissé entendre que le premier conteingent des contenairs appréhendés a été libéré mercredi 9 mars dernier sous escorte des forces de l’ordre de la police en direction de la région du littirale. Par ailleurs , pour ceux qui concernaient les 17 autres camions, ils ont été escorté par la gendarmerie locale toujours en destionation pour le littoral où ces contenairs vont se rendre au port de douala pour etre transférés à l’extérieur du pays.
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