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La bataille d'Abidjan a connu ce week-end une nouvelle montée en puissance. Après l'attaque contre le Golf Hôtel d'Abidjan, le quartier général d'Alassane Ouattara, par les hommes de Laurent Gbagbo, l'ONU et la France ont ouvert le feu sur le palais présidentiel.
Lire le récit de la journée de dimanche.(Cliquez sur la carte pour l'agrandir)
15h25 Laurent Gbagbo a été arrêté par les forces spéciales françaises. Il aurait été remis à la rébellion.
15h15 Selon des témoins cités par l'AFP, des forces pro-Ouattara ont été vues dans l'enceinte de la résidence de Laurent Gbagbo.
15h00 Des blindés de la force française Licorne et de l'ONU sont déployés à Abidjan sur un boulevard menant à la résidence du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, confirme une source proche de l'opération.
14h40 Un témoin rapporte à l'agence Reuters qu'il a vu la colonne française de 30 blindés avancer en direction d'un des principaux boulevards près de la résidence de Laurent Gbagbo: "Les véhicules avancent accompagnés de soldats français et d'un hélicoptère", déclare Alfred Kouassi, un Ivoirien résident en haut d'un immeuble surmontant l'avenue. "On peut entendre les crépitements d'une arme automatique."
13h30 Le PS demande que "le gouvernement précise les conditions d'engagement" de Licorne. C'est ce que déclare Benoît Hamon . "Nous avons soutenu l'intervention de Licorne dans le cadre de la résolution 1975. Mais aujourd'hui nous demandons au gouvernement de répondre à cette question: y a-t-il aujourd'hui un autre mandat que celui de la mise en oeuvre de la résolution 1975?" a poursuivi Benoît Hamon.
Il ajoute : "Nous disons qu'il y a des accusations extrêmement graves qui pèsent sur les deux camps, notamment de crimes contre les populations civiles, qui pourraient justifier que le tribunal pénal international s'en saisisse."
12h50 La résidence de Laurent Gbagbo à Abidjan a été.
Côte-d'Ivoire: Gbagbo, jusqu'au-boutiste
La communauté internationale a reconnu l'élection de Ouattara mais Gbagbo refuse de quitter le pouvoir.
Heure par heure
Il aurait été conduit à l'hôtel du Golf, QG du camp Ouattara.
La force française Licorne en opération dans le Sud de la Côte d'Ivoire le 11 avril 2011. (REUTERS)
L'ESSENTIEL:
• La bataille d'Abidjan a connu ce week-end une nouvelle montée en puissance. Après l'attaque contre le Golf Hôtel d'Abidjan, le quartier général d'Alassane Ouattara, par les hommes de Laurent Gbagbo, l'ONU et la France ont ouvert le feu sur le palais présidentiel.
•Lire le récit de la journée de dimanche.

(Cliquez sur la carte pour l'agrandir)
15h25 Le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo a été arrêté lundi par les forces d'Alassane Ouattara et conduit au Golf hôtel, QG du camp Ouattara dans Abidjan, annonce l'ambassadeur de France, Jean-Marc Simon.
15h15 Selon des témoins cités par l'AFP, des forces pro-Ouattara ont été vues dans l'enceinte de la résidence de Laurent Gbagbo.
15h00 Des blindés de la force française Licorne et de l'ONU sont déployés à Abidjan sur un boulevard menant à la résidence du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, confirme une source proche de l'opération.
14h40 Un témoin rapporte à l'agence Reuters qu'il a vu la colonne française de 30 blindés avancer en direction d'un des principaux boulevards près de la résidence de Laurent Gbagbo: "Les véhicules avancent accompagnés de soldats français et d'un hélicoptère", déclare Alfred Kouassi, un Ivoirien résident en haut d'un immeuble surmontant l'avenue. "On peut entendre les crépitements d'une arme automatique."
13h30 Le PS demande que "le gouvernement précise les conditions d'engagement" de Licorne. C'est ce que déclare Benoît Hamon . "Nous avons soutenu l'intervention de Licorne dans le cadre de la résolution 1975. Mais aujourd'hui nous demandons au gouvernement de répondre à cette question: y a-t-il aujourd'hui un autre mandat que celui de la mise en oeuvre de la résolution 1975?" a poursuivi Benoît Hamon.
Il ajoute : "Nous disons qu'il y a des accusations extrêmement graves qui pèsent sur les deux camps, notamment de crimes contre les populations civiles, qui pourraient justifier que le tribunal pénal international s'en saisisse."
12h50 La résidence de Laurent Gbagbo à Abidjan a été «partiellement détruite» par les derniers bombardements des forces de l'ONU et de l'armée française, dénonce lundi Charles Blé Goudé, leader des jeunes patriotes du président ivoirien sortant, sur la chaîne France 24 (voir la vidéo ci-dessous).
«Ces dernières heures, les hélicoptères de l'armée française ont tiré sur la résidence privée du président Laurent Gbagbo, détruisant partiellement cette résidence», a déclaré Charles Blé Goudé, ministre de la Jeunesse du président sortant et appelé le «général de la rue» pour sa capacité à mobiliser, notamment dans les milieux étudiants.
(Source : France 24)
11h20 Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, affirme que la participation de la France aux frappes engagées dimanche par l'ONU en Côte d'Ivoire est destinée à éviter «un bain de sang» à Abidjan, pas «à chasser militairement» le président sortant Laurent Gbagbo.
Lundi 9h20 François Fillon écrit aux présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, Bernard Accoyer et Gérard Larcher, pour les informer de la participation dimanche des forces françaises aux opérations contre «les armes lourdes» du camp Gbagbo en Côte-d'Ivoire, a annonce Matignon.
Dans la nuit de dimanche à lundi La force de l'ONU en Côte d'Ivoire (ONUCI) et la force française Licorne ont poursuivi leurs frappes près de la résidence du président sortant Laurent Gbagbo, dont les forces ont réussi ces derniers jours à regagner du terrain à Abidjan face aux combattants d'Alassane Ouattara. Le camp Gbagbo a aussitôt accusé la France de n'avoir pas d'autre objectif que d'«assassiner» le président sortant.
Dans un communiqué publié dans la nuit, Alassane Ouatara a annoncé qu'il avait demandé le jour même au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon la "neutralisation" des armes lourdes de son adversaire, "conformément à la résolution 1975" de l'ONU.
Dans un contexte de détérioration de la situation politique et sécuritaire, les hélicoptères de l'ONUCI et de la force Licorne avaient tiré auparavant "plusieurs missiles sur des véhicules blindés situés à l'extérieur de la résidence de Laurent Gbgabo" dans le quartier de Cocody (nord), a indiqué une source proche de l'opération à l'AFP.
• La bataille d'Abidjan a connu ce week-end une nouvelle montée en puissance. Après l'attaque contre le Golf Hôtel d'Abidjan, le quartier général d'Alassane Ouattara, par les hommes de Laurent Gbagbo, l'ONU et la France ont ouvert le feu sur le palais présidentiel.
•Lire le récit de la journée de dimanche.
(Cliquez sur la carte pour l'agrandir)
15h25 Le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo a été arrêté lundi par les forces d'Alassane Ouattara et conduit au Golf hôtel, QG du camp Ouattara dans Abidjan, annonce l'ambassadeur de France, Jean-Marc Simon.
15h15 Selon des témoins cités par l'AFP, des forces pro-Ouattara ont été vues dans l'enceinte de la résidence de Laurent Gbagbo.
15h00 Des blindés de la force française Licorne et de l'ONU sont déployés à Abidjan sur un boulevard menant à la résidence du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, confirme une source proche de l'opération.
14h40 Un témoin rapporte à l'agence Reuters qu'il a vu la colonne française de 30 blindés avancer en direction d'un des principaux boulevards près de la résidence de Laurent Gbagbo: "Les véhicules avancent accompagnés de soldats français et d'un hélicoptère", déclare Alfred Kouassi, un Ivoirien résident en haut d'un immeuble surmontant l'avenue. "On peut entendre les crépitements d'une arme automatique."
13h30 Le PS demande que "le gouvernement précise les conditions d'engagement" de Licorne. C'est ce que déclare Benoît Hamon . "Nous avons soutenu l'intervention de Licorne dans le cadre de la résolution 1975. Mais aujourd'hui nous demandons au gouvernement de répondre à cette question: y a-t-il aujourd'hui un autre mandat que celui de la mise en oeuvre de la résolution 1975?" a poursuivi Benoît Hamon.
Il ajoute : "Nous disons qu'il y a des accusations extrêmement graves qui pèsent sur les deux camps, notamment de crimes contre les populations civiles, qui pourraient justifier que le tribunal pénal international s'en saisisse."
12h50 La résidence de Laurent Gbagbo à Abidjan a été «partiellement détruite» par les derniers bombardements des forces de l'ONU et de l'armée française, dénonce lundi Charles Blé Goudé, leader des jeunes patriotes du président ivoirien sortant, sur la chaîne France 24 (voir la vidéo ci-dessous).
«Ces dernières heures, les hélicoptères de l'armée française ont tiré sur la résidence privée du président Laurent Gbagbo, détruisant partiellement cette résidence», a déclaré Charles Blé Goudé, ministre de la Jeunesse du président sortant et appelé le «général de la rue» pour sa capacité à mobiliser, notamment dans les milieux étudiants.
(Source : France 24)
11h20 Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, affirme que la participation de la France aux frappes engagées dimanche par l'ONU en Côte d'Ivoire est destinée à éviter «un bain de sang» à Abidjan, pas «à chasser militairement» le président sortant Laurent Gbagbo.
Dans la nuit de dimanche à lundi La force de l'ONU en Côte d'Ivoire (ONUCI) et la force française Licorne ont poursuivi leurs frappes près de la résidence du président sortant Laurent Gbagbo, dont les forces ont réussi ces derniers jours à regagner du terrain à Abidjan face aux combattants d'Alassane Ouattara. Le camp Gbagbo a aussitôt accusé la France de n'avoir pas d'autre objectif que d'«assassiner» le président sortant.
Dans un communiqué publié dans la nuit, Alassane Ouatara a annoncé qu'il avait demandé le jour même au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon la "neutralisation" des armes lourdes de son adversaire, "conformément à la résolution 1975" de l'ONU.
Dans un contexte de détérioration de la situation politique et sécuritaire, les hélicoptères de l'ONUCI et de la force Licorne avaient tiré auparavant "plusieurs missiles sur des véhicules blindés situés à l'extérieur de la résidence de Laurent Gbgabo" dans le quartier de Cocody (nord), a indiqué une source proche de l'opération à l'AFP.
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