A la source du camp sic à Bertoua, le mardi 5 avril 2010. Il est environs 15 heures sur l’horloge locale lorsque le soleil ardent se prépare pour un couché nocturne à l’Ouest Cameroun. Pourtant le plein des habitants venus s’offrir le précieux liquide continus de faire des va et viens dans une ligne étroite. Des seaux d’eau sous une rangée vertigineuse attendent de passer sous la perfusion d’eau du seul forage salubre dont dispose ce quartier de Bertoua 1er.
Dans cette rangée surpeuplée, des planes d’enfant appellent à une gorgé d’eau potable bien glacée, déconcentre les jeunes gens dans leur causerie habituelle. Malgré cet appel, la nourrissent reste omniprésent à la doléance du nouveau né qui n’a que 1 ans à peine. Sur un même décor, des adultes en attentent lisent pleinement l’actualité nationale dans un numéro de publication récent du quotidien gouvernemental. Dans les colonnes garnies des faits de sociétés à donner du sourire au lèvre, un passage permet de capter les préventions de l’OMS et du Minsante sur les mesures à prendre lors d’une contamination. Le regard est jeté et la vase du débat sur le choléra est ouverte.
Les régions de l'Est et de l'Adamaoua qui du moin pour l'instant ne figurent pas encore dans le tabloïd des victimes du choléra au Cameroun est remis en doute. En effet, cette longévité du non accès de cette épidémie qui ravage en un laps de temps, les partisans boudeurs du virus cholérique, sème sur un pied d'escale, le trouble sur l'absence en chiffre de la région de l'Est. Hors dans le domaine sanitaire, les villes de l'Est ne sont pas autant épargnées sur le plan salubre, que sur le plan de la pénurie d'eau d'où celle de la région de l'Est face aux autres régions qui ont succombé au contingent du wagon des victimes du choléra. comme bon nombre de personnes, le fameux dicton Camerounais qui dit: "la saleté n'a jamais tuée l'homme noir" ne cesse d'etre relaté au quotidien des populations lorsque le thème choléra ullimine les divers, et ces propos tenus du jour au lendemain s'illustre sur les épaules de la région de l'Est comme un grain de sable à l'intérrieure des yeux du lion.
Certes, aucun cas n'a encore pas été revelé de ce coté par les hopitaux publics et privés mais avec l'ensemble des mesures d'hygiene constatés sur le terrain en cette période de la vache maigre, l'on craint à l'avenir un pire difficilement rébarbatif à diggerer. De nos jour dans la cité capitale de la métropole régionale de l'Est, il n'est pas facile dans les banlieux de rencontrer des familles qui vous parlent santé. La denréé liquide qui coule en ralenti, les forages presque paralysés, des eaux dis traités puis exposés en vente dans des conditions abstraites, sans étriller la cruelle pénurie d'eau de source auquelle, pour la pêtite histoire, des petits excréments rouge ont été glanés dans une source à Bertoua par des jeunes riverains, cela reste un mytère que ces eaux soient bénis des dieux car venant du contraire un s'imagine déja des victimes annoncées sur les carreaux. Ainsi sur fond d'incertitude, des pareilles éventuels maux remettent sur la sonnete d'alarme, des mésures d'hygiene saine.
Ainsi pour contre- carrer cette pendémie voyageuse, les autorités régionales inquiet de la gravité de la situation qui vient du Centre voisin, ne baissent pas la garde tant au niveau de la sensibilisation et de la préventionn qu'au niveau des larges communiqués radiodiffusés afin que le message passe et repasse. Mais dès lors, d'un revers de sourdité ces messages sont souvant boudés et ignorés par la population qui dit ne pas savoir par où ce virus va s'introduire à Bertoua ou dans les autres départements.
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